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Danse classique :
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Répétition de danse contemporaine

La danse classique, un héritage de la Renaissance italienne
Est-ce que toutes les danses découlent de la danse classique ?
Avant de découvrir le ballet de Marius Petipa, La Bayadère, il y a un long chemin à parcourir !
Dans la conscience collective, la danse renvoie souvent aux ballerines et aux tutus, aux danseuses étoiles, aux entrechats, aux pointes et demi-pointes.

C'est en réalité une représentation de la danse classique.

Si le fait de danser existe depuis l'Antiquité, les pas de danse classique primitifs remontent à la Renaissance italienne, à savoir la danse à la cour d'Italie au XVe siècle.

La danse classique va, en peu de temps, s'exporter des cours d'Italie aux monarchies européennes.

Elle rencontra en effet un grand succès en France et en Russie à l'époque classique : il s'agissait alors d'un spectacle de danse.

Le mot « ballet » vient du terme italien « balletto », un diminutif de « ballo », qui signifie «danse».

« Ballo » est lui-même étymologiquement lié au latin « ballo, ballare » qui veut dire « danser ».

L’orthographe française « ballet » est utilisée à l’identique en anglais.

A l'époque, il était fondamental que les nobles sachent danser car il fallait pouvoir se déplacer, se mouvoir avec élégance. 

Même le roi et la reine étaient ainsi incités à apprendre la danse.

La naissance du balletto italien
C’est lors de mariages italiens que les ballets font leur grande entrée et que la danse classique apparaît. Les musiciens et les danseurs avaient alors pour mission de distraire les invités en exécutant des pas de deux et autres entrechats.

D'où vient la façon "classique" de danser ?
Les Italiens ont été des pionniers dans beaucoup de domaines artistiques. Les danseurs en ont fait partie.
Les mariages nobles étaient alors somptueusement organisés : dans l'impérieuse nécessité que la fête soit fastueuse, musiciens et danseurs devaient donc divertir au mieux les invités.

Mais l'émergence de la danse classique se fit grâce au soutien public des puissants membres de familles royales.

Catherine de Médicis (1519-1589), d'origine florentine, avait elle-même un penchant très prononcé pour les arts de l'époque (musique classique, danse, peinture).

Héritière de la grande famille des Médicis et de leurs goûts pour les arts, elle mènera d'ailleurs une politique culturelle active au service de la monarchie française lorsqu'elle sera Reine de France.

Elle épouse Henri II en 1533, héritier du trône de France.

Elle importe avec elle son goût pour la danse, et le développe en France au moyen de ses soutiens financiers.

Le balletto est alors présenté à la cour du Roi de France : l'assemblage des paroles, des versets, des chants, des décors et des costumes devient progressivement un grand spectacle de luxe.

Le ballet est alors né.

Bien avant cela, Domenico Da Piacenza (1390-1470) était un professeur de danse à la cour de la famille d'Este. C'est lui qui a rédigé le premier traité de danse le plus ancien connu de notre époque : de arte saltandi et choreas ducendi.

Ce pionnier était chargé de l'enseignement de la danse.

Le ballet de cour français
Si Catherine de Médicis est sacrée Reine de France dès 1547, c'est à la fin du XVIè siècle que son art et sa pratique vont commencer à se développer en France.

On considère que le premier ballet a été dansé en 1581 au Louvre, lors d'un mariage entre des proches du roi Henri III.

Ce ballet fut intitulé Le ballet comique de la reine Louise.

Le spectacle dura 5 heures ! Imaginez l'état des jambes des danseurs à la fin !

A l'époque, la majorité des personnes sur scène étaient des hommes.

Il n’est pas le premier ballet créé. L'un des tout premiers ballet aurait été en effet dansé en 1489 à Tortona, en Italie.

Toutefois, sa représentation coïncida avec la parution du traité Il ballarino, publié en Italie, alors épicentre du développement technique du ballet.

C’est à partir de ces ballets de cour que seront créés les opéras-ballets et les comédies-ballets de Lully et Molière.

Les spécialistes considèrent que le plus ancien ballet de danse classique, qui soit encore dansé de nos jours, est "La Fille Mal Gardée" : il aurait pourtant été composé en 1789.

La codification de la danse classique à l'époque moderne
Si la danse classique puise ses origines en Italie, c’est bien en France et en Russie qu’elle se développe le plus activement, et d'où elle tire ses lettres de noblesse.

L'essor du ballet sous le règne de Louis XIV
Sous le règne de Louis XIV (1638-1715), la danse va prendre un développement rapide.

La règne du Roi Soleil, de 1643 à 1715 marque l'essor de la danse en tant qu'art à part entière : lui-même était passionné de danse.

Il voulait à ce titre, à tout prix relancer la danse en tant qu'art et éviter son déclin alors observé au XVIIe siècle.

Le Roi Soleil crée alors l’Académie Royale de Danse en 1661 puis l’Académie Royale de Musique en 1669.

Aujourd’hui, on la connaît mieux sous le nom Ballet de l’Opéra national de Paris.

De cette époque, va naître les cinq positions classiques de la danse, sous l'impulsion du danseur Pierre Beauchamp (1631-1705).

En 1681, le ballet "Le Triomphe de l'Amour", de Jean-Baptiste Lully, fait de Mademoiselle de La Fontaine (1655-1738) la première danseuse professionnelle de France.

Ballerine professionnelle à l'Académie Royale de Musique, elle danse les rôles-titres de plusieurs ballets, notamment Phaéton, Acis et Galatée, et 18 ballets entre 1681 et 1693.

Sa carrière lui valut de recevoir le titre de "Reine de la danse".

Alors que la danse s'émancipe du chant et de la déclamation, la danse se féminise rapidement, alors que c'était jusque-là un art exclusivement réservé aux hommes.

Les cinq positions de la danse classique
Comment apprendre à faire une pirouette en classique ?
Voici comment réaliser la cinquième position en image.
Pierre Beauchamp, danseur et chorégraphe à la cour, figure emblématique de la belle danse, codifie les cinq positions de la danse classique et met au point un système de notation de la danse :

La première position : talons accolés, pieds sur la même ligne,
La seconde position : talons éloignés de la valeur d’un pied et demi sur la même ligne,
La troisième position : le talon du pied placé devant se place au milieu du pied de derrière,
La quatrième position : les pieds sont écartés de la valeur d’un pied. On peut faire une quatrième ouverte (les talons sont alignés) ou une quatrième croisée (le talon de devant est aligné avec les orteils de derrière),
La cinquième position : talon avant contre la pointe du pied arrière.
L'influence du travail chorégraphique de Pierre Beauchamp, maître de ballet du roi, explique pourquoi les termes techniques de la danse classique sont en français partout dans le monde et cela, encore aujourd'hui.

Les mots des bases de la danse sont alors glissade, entrechat, grand jeté, pas de bourrée, en-dehors.

L'en-dehors est d'ailleurs l'une des caractéristiques particulières de cette danse : le pas consiste à avoir la jambe orientée vers l'extérieur, de façon à ce que le public puisse voir la face interne des danseurs et danseuses.
La naissance du ballet d’action au XVIIIe siècle
Au XVIIIe siècle, le ballet devient un spectacle artistique au même niveau que l’opéra.

Le Siècle des Lumières voit en effet de profondes évolutions dans les techniques du ballet.

Comment le ballet a-t-il évolué à l'époque moderne ?
La danse de cour de Louis XIV à Louis XVI : l'art des nobles, vivant dans une insolente opulence !
Le travail chorégraphique de Jean-Georges Noverre (1727-1810), avec ses Lettres sur la danse (1760) crée le ballet d'action, où les mouvements du danseur et l’enchaînement des pas doivent représenter des sentiments et aider à la compréhension du récit.

Fondateur du ballet moderne, il a joué un rôle crucial dans le développement de la danse.

Pour lui rendre hommage, l'Institut international du théâtre a décidé en 1983 de créer la Journée internationale de la danse, le 29 avril, jour de la naissance de Noverre.

Le premier ballet d’action est le Don Juan de Gluck et date de 1761. Il sera écrit selon les enseignements de Noverre.

C’est l’ancêtre direct des grands ballets des XIX et XXe siècles.

Le saviez-vous ?
A cette époque, la danseuse étoile est loin d’exister.
Les femmes sont cantonnées à des rôles secondaires, tout encombrées de perruques, de corsets et de talons hauts qu’elles sont.

Fort des évolutions successives dans le temps, le ballet intercalaire (inséré dans un opéra) devient une des spécialités traditionnelles de l'art lyrique français.

Le ballet-d'action, autrement nommé ballet-pantomime est né par héritages des comédie-ballets que Lully, Molière et Beauchamp avaient, sous Louis XIV, porté au devant de la scène dans plusieurs pays d'Europe.

Au milieu du XVIIIe siècle, le ballet-d'action est victime de son succès. Il triomphe aux théâtres de la Foire (spectacles donnés à Paris lors des foires de Saint-Germain, de Saint-Laurent et de Saint-Ovide), à l'Opéra-Comique de Paris et au théâtre italien.

Il se répand sur les scènes européennes à Londres, Vienne, à Saint-Pétersbourg ainsi que dans plusieurs grandes villes italiennes.

De la codification de la danse en ballet-d'action, naît trois genres :

La danse noble : sarabande, passacaille, adagio à 3 et 4 temps, loure, menuet noble, chaconne à 2 et 3 temps, gigue lourée, etc.,
La danse demi-caractère : romance, sicilienne, musette galante, menuet gracieux, andante, pastorale agréable, gigue ordinaire, gavotte, passe pied, sylphe,
La danse comique : musette champêtre, menuet grotesque, 4 temps lourré, 3/8-6/8, 12/8, tambourin, etc.
Ces trois différents styles sont encore pratiqués aujourd'hui.

L'émergence du ballet romantique au XIXe siècle
Le XIXème siècle voit une accélération de la codification de la danse classique. De nombreux écrits sont publiés notamment sur l’art de la chorégraphie et l’enseignement de la danse classique.

Comment la danse classique s'est-elle internationalisée ?
Au XIXe siècle, des artistes de renommée internationale s'intéressent à l'art de danser : Tchaïkovski fera partie des grandes heures du ballet russe.
Le ballet intercalaire du Grand opéra devient caduque à partir des années 1860, lorsque la musique de W. R. Wagner (1813-1883) se fait connaître.

La désuétude du ballet intercalaire est actée avec la représentation de Tannhäuser en 1861, à l'Opéra de Paris.

La danse classique a alors neuf principaux codes :

L'en-dehors,
Les cinq positions de Beauchamp,
L'aplomb,
La rigueur,
La netteté.
Le tutu et la technique des pointes (utilisées pour la première fois en 1801) font leur apparition à l'Opéra de Paris, en 1832, lorsque Marie Taglioni (1804-1884) danse La Sylphide.

Cette oeuvre voit un tsunami submerger le monde de la danse classique : c'est le début du courant romantique.

La danse devient plus aérienne, plus élaborée et précise, majoritairement féminine.

La danseuse devient un pilier incontournable de tous les ballets romantiques : le rôle des hommes devient secondaire, ils ne sont plus présents que pour être porteurs de la ballerine.

L'utilisation des pointes, ces chaussons à la pointe renforcée et permettant à la danseuse de se tenir debout sur ses orteils (non sans se faire mal !), se généralise.

Dans le même temps, un chorégraphe Italien se rend célèbre pour ses apports au milieu de la danse : Carlos Blasis (1797-1878).

Il est l’un des grands théoriciens de la danse classique.

Né à Naples, il s'installe avec sa famille à Marseille et débute à l'Opéra de Marseille à l'âge de 12 ans. Il étudie la danse à Bordeaux à partir de 1816.

Il se rend à Paris pour suivre les enseignements de Pierre Gardel (1758-1840).

Premier danseur à la Scala de Milan et à la Fenice de Venise, puis au Teatro Regio de Turin, il devient enseignant après une blessure au pied.

Ses ouvrages, comme Traité élémentaire théorique et pratique de l’art de la danse ou Manuel complet de la danse influencent encore école de danse, professeur de danse et conservatoire de danse.

Carlos Blasis a notamment influencé Enrico Cecchetti (1850-1938) dans l’élaboration de sa méthode, encore enseignée aujourd’hui en France, au Royaume-Uni et au Canada.

Cette méthode s’appuie sur la technique et l’anatomie du danseur classique. Elle a pour but d’apprendre les principes de base mais de laisser l’élève développer sa propre façon de danser sans imiter son maître danseur.

La fluidité du mouvement et le travail autour du centre de gravité sont privilégiés. Elle comprend cinq niveaux de difficulté sanctionnés par un examen et donnant lieu à un diplôme certifié.

La méthode mélange la technique du mouvement ainsi que la rigueur du rythme : l'accent est mis sur la fluidité du mouvement et sur le travail autour du centre de gravité.

Elle tend à enseigner la danse en tant que science exacte.

On pense donc le mouvement en tant que déplacement du corps afin que ce premier soit gracieux.

Cet enseignement stricte mise sur la précision et la rigueur, et met en avant la qualité plutôt que la quantité (de mouvements mal faits).

Le renouveau de la danse classique
Après 1850, alors que l’enthousiasme pour le ballet décline en France, la danse classique trouve un nouveau souffle en Russie.

Il n'y a pas de place pour l'improvisation dans un ballet.
Les femmes prennent la place centrale tardivement dans l'histoire de la danse classique.
Le peuple parisien commence à se lasser du ballet vers les années 1850. De l'autre côté de l'Europe, de grands chorégraphes et maîtres de ballets se font connaître : Auguste Bournonville, Jules Perrot, Enrico Cecchetti et l'un des plus connus : Marius Petipa.

Les regards sont de plus en plus tournés vers l'orientalisme, né de la fascination envers l'Empire Ottoman : l'orientalisme va submerger tous les arts de l'époque.

Marius Petipa (1818-1910), un Français qui vécut en Russie de l'âge de 29 ans à sa mort, a laissé de nombreux chefs-d’œuvre du ballet classique.

Son oeuvre est reconnue pour Le Lac des Cygnes (P. I. Tchaïkovski), Don Quichotte, la Belle au Bois Dormant, la Bayadère, Casse-Noisette…

Ce sont les ballets qui servent de fondement à la danse classique
telle qu’on l’entend aujourd’hui.

C'est également l'époque où la France et la Grande-Bretagne étendent leurs empires. Le colonialisme élargit la connaissance des cultures asiatiques et africaines en Europe.

Les puissances occidentales dénaturent et stigmatisent également ces cultures, en s'affichant comme cultures dominantes et supérieures vis-à-vis de celles des pays colonisés.

Alors que les pays d'Europe s'enrichissent des ressources africaines et asiatiques, l'image d'un Orient décadent est paradoxalement diffusée par la presse auprès de l'opinion publique.

Le mot « classique » fait son apparition avec les Ballets russes en 1910, fondés par Serge de Diaghilev (1872-1929).

La compagnie des Ballets Russes ravive l'intérêt du grand public pour le ballet.

La compagnie est fondée avec des danseurs Russes exilés à Paris après la révolution russe de 1917.

En France, le ballet se renouvelle et donne lieu au néo-classique avec Michel Fokine et Serge Lifar (et la grande danseuse Lycette Darsonval) et aux Etats-Unis avec George Balanchine, créateur du New York City Ballet.

Malgré les difficultés liées au régime soviétique (la danse classique étant vue comme un art des Tsars et de la bourgeoisie), les Ballets russes continuent leur développement. Le ballet a toujours été très populaire en Russie.

Les compagnies du Kirov, du Théâtre Bolchoï et du Théâtre Mariinski demeurent très prisées.

Afin de vivre avec leur temps (ou pour s'adapter et éviter l'interdiction et la censure politiques), les artistes imprègnent leurs œuvres du réalisme socialiste soviétique.

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Aimez-vous danser comme à Saint-Pétersbourg ?
Les pièces de danses traditionnelles sont restées très prisées pour Russes.
On en retient des ballets incontournables tels que Roméo et Juliette de S. Prokofiev, La Fontaine de Bakhtchisaraï (d'A. Pouchkine) mise en chorégraphie par R. Zakharov.

Ces pièces ne connaîtront le succès international qu'après l'effondrement de l'URSS en 1991.

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La danse classique au XXe siècle
La danse classique aujourd'hui se modernise et sort des sentiers battus avec des danseurs et chorégraphes comme Maurice Béjart, Benjamin Millepied, Pina Baush ou Rudolf Noureev.

La hiérarchie du ballet
Une compagnie de danse est organisée en une hiérarchie. Chacun a un rôle particulier et même si cette hiérarchie n’est pas universelle, elle est souvent utilisée.

Maître de ballet : directeur de la troupe de danseurs. Aujourd’hui, on trouve également un directeur artistique,
Danseur/Danseuse étoile : titre accordée aux meilleurs premiers danseurs de l’Opéra de Paris (cours de danse Paris) depuis 1938 (Aurélie Dupont par exemple de 1998 à 2015). Dans les compagnies étrangères, on les appelle « soliste principal »,
Premier danseur/Première danseuse : rôles de solistes,
Sujet : danseur du corps de ballet, interprétant des rôles de solistes,
Coryphée : chef des chœurs. Rôle de soliste momentané,
Danseur figurant : membre du corps de ballet, aucun rôle de soliste,
Danseur surnuméraire : danseur pas encore figurant,
Quadrille : ensemble de 8 ou 16 danseurs figurants.
Quelle école de danse classique est la meilleure ?
Les pointes amènent plus de légèreté aux mouvements et donnent l'impression à la danseuse de voler.
Un univers très éloigné des cours de zumba en ligne et autres cours de salsa Paris donc, mais fascinant !

L’enseignement de la danse classique
La danse classique est avant tout l’école de la rigueur et de la discipline. Les exercices visent à développer force musculaire, équilibre, souplesse et grâce. 7 méthodes d’enseignement de la danse classique sont à retenir, du nom de leur inventeur :

Méthode Vaganova : la plus couramment enseignée,
Les règles et le vocabulaire de la danse classique ne subissent que de très légères variations. Ce sont généralement les mêmes dans le monde entier.

Le ballet vise avant tout l’esthétisme et c'est notamment vrai pour les extensions, le dynamisme des rotations et la rapidité de mouvements des pieds.

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En synthèse :

La danse classique tire ses origines du balletto italien au XVème siècle,
Louis XIV a joué un rôle important dans la reconnaissance de la danse classique comme un art,
Ce sont la France et la Russie qui ont donné ses lettres de noblesse à la danse classique avec des danseurs et chorégraphes comme Petipa ou Serge de Diaghilev,
Aujourd'hui, le vocabulaire de la danse classique est le même partout dans le monde et il est principalement utilisé en français : "pas-de-bourré", "entrechat" ou encore "pas-de-deux".

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